Sans numéros d’articles globaux, il ne se passera bientôt plus rien en ligne non plus. Les offres GS1 créent de la clarté sur la provenance et sur la composition des produits et augmentent la transparence du commerce des biens de consommation sur le réseau.
Le commerce électronique convainc les gens – ils sont de plus en plus nombreux à acheter en ligne. Les taux de croissance en Chine en particulier sont impressionnants. En Suisse, les entreprises de commerce électronique aiment se différencier par une logistique de livraison individuelle.
Les marques doivent être innovantes, visionnaires, dignes de confiance, fiables, cool, exclusives et elles doivent enthousiasmer. Quelles valeurs sont importantes? Que souhaite le consommateur? Les tendances de recherche sur Google et la surveillance des médias sociaux peuvent contribuer à récupérer l’attrait perdu des marques.
On entend par e-tailing le commerce électronique avec des produits, donc des marchandises et des prestations de services, essentiellement en ligne ou dans des formes hybrides du monde en ligne et hors ligne. Jusque là tout va bien … notre monde est de plus en plus déterminé par des offres électroniques, qu’il s’agisse du simple approvisionnement de marchandises pour les besoins quotidiens ou bien les biens de consommation.
Un terme électrise les entreprises, les scientifiques et les politiciens dans le monde entier: Industrie 4.0. Le terme décrit un processus qui vise une nouvelle révolution industrielle. Les motifs sont différents et le progrès est tout sauf un escargot
Robotique, fabrication additive, intelligence artificielle, Internet des objets, geofencing, blockchain et platooning décrivent le monde de l’Industrie 4.0. Les produits et les prestations de services sont reliés entre eux par des réseaux. De nouveaux modèles d’affaires, de nouveaux marchés et produits sont créés.
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De plus en plus d’entreprises suisses s’intéressent à l’Industrie 4.0 même si la plupart sont des observateurs. Deux études de Staufen Inova et CSC traitent des activités dans ce domaine et identifient les principaux moteurs de l’évolution.
Les organisations de normalisation veulent encourager la création d’une Industrie 4.0 par le développement de standards et de normes contraignants homogènes. La Suisse s’engage dans les instances. Mais dans les entreprises, le manque de normes n’est pas encore au centre des préoccupations.
Le groupe de technologie climatique Walter Meier AG a ouvert l’an dernier son nouveau centre de prestations de services. Le nouveau concept logistique englobe une intralogistique automatisée avec adaptation des processus en amont et en aval.
Monsieur et Madame Suisse sont des vrais champions du recyclage. Chaque année ils ramassent et recyclent rien de moins que 350.000 tonnes de verre. De quoi visiter l’entreprise pionnière de recyclage et l'unique verrerie en Suisse.
Le Conseil fédéral a pris sa décision. Les décrets relatifs à la nouvelle législation sur les denrées alimentaires entreront en vigueur en mai 2017. En même temps, nous recevons un nombre croissant de questions de la part des entreprises qui sont confrontées à des déclarations diverses en ce qui concerne l’échange des données de base. Nous souhaitons vous informer sur les derniers développements dont nous avons connaissance.
Thomas Edison a inventé l’ampoule à incandescence, Konrad Zuse l’ordinateur, Norman Woodland le code-barres et Tim Berners-Lee est l’inventeur du HTML et le fondateur d’Internet. Mais qui a eu l’idée d’échanger des données commerciales sous forme structurée? Où l’échange de données prend-il ses racines et quelles ont été les évolutions au cours des dernières décennies?
Le volume de données va augmenter massivement dans les années à venir. La raison en est l’importance croissante des données pour les entreprises, c’est pourquoi elles les collectent et les enregistrent. Les capteurs comme fournisseurs de données sont également en plein essor. Aujourd’hui déjà, les objets devenus intelligents sont plus nombreux que les hommes.
Un monde industriel mis en réseau et collaboratif devrait permettre davantage d’innovations et de profit. Les entreprises suisses veulent faire avancer fortement la numérisation jusque 2020.
L’entreprise de distribution d’articles de marque Promena traite aujourd’hui près de 80 % de ses commandes clients automatiquement. Derrière se trouve l’utilisation précoce de standards, de l’EDI et d’un partenaire de délocalisation qualifié.
La numérisation de la procédure douanière prend de plus en plus d’importance pour l’industrie et le commerce. Pourtant le potentiel d’optimisation pour une meilleure collaboration entre les différents services de dédouanement reste élevé.
La révision de la loi suisse sur les denrées alimentaires (LDAl) est en grande partie une approche du droit de l’UE, du point de vue du contenu comme de la forme. La demande en faveur de plus de transparence des produits alimentaires ou cosmétiques s’oppose à l’économie des processus logistiques.
À l’avenir nous croiserons les descendants de R2-D2 sur les trottoirs. Les robots de livraison représentent une alternative aux drones réelle et à prendre au sérieux. Les caisses roulantes pourraient bientôt révolutionner le dernier mile.
Avant l’achat, les clients saisissent leur appareil numérique. L’expérience d’achat dans le commerce stationnaire doit convaincre. Le moniteur du commerce de détail 2016 montre le besoin d’action dans un secteur et les garde-fous pour son avenir.
Les magasins qui ouvrent et qui ferment sont très appréciés. En Suisse, les pop-up stores conquièrent les centres commerciaux, les centres-villes et les gares. Pendant que les commerçants se passionnent, les propriétaires de biens immobiliers y prennent goût lentement.
Ce n’est pas nouveau: le commerce fait face à de grands défis et on lui réclame plus que jamais le développement de nouvelles stratégies et leur mise en œuvre pour pouvoir participer au marché. L’étude de tendance «Avenir du commerce stationnaire» de l’institut 2b Ahead Think Tank fournit un aperçu de l’évolution du marché jusqu’en 2020.
Cargo sous terrain se présente pour créer une nouvelle infrastructure de transport en Suisse. Le projet est ambitieux, mais il séduit par sa nouvelle interprétation axée sur les besoins des processus logistiques.